En tant que directrice artistique, j’ai imaginé l’univers graphique et réalisé la mise en page de La Petite Mort. Il s’agit d’un projet éditorial réalisé en collaboration avec le photographe Simon Lagoarde.
Ainsi, comme Tribulations nippones, le livre a été financé en 2017 via le financement participatif, sur la plateforme française Ulule.
La présentation de ce projet éditorial
Il s’agit d’une série de 70 photographies réalisées par Simon Lagoarde. Teintées d’érotisme et de macabre, elle met en scène 43 modèles, de toutes formes
et de tous âges. Ces dernières ont pour compagnie un seul et même objet : un canapé.
et de tous âges. Ces dernières ont pour compagnie un seul et même objet : un canapé.
Chacune des personnes présentées dans ces photographies ouvre alors une fenêtre vers un fragment d’intimité. Elle est dévoilée le temps de ce relâchement extatique. Lascives, parfois dures ou fragiles, elles sont toujours sublimes.
Une mise en page douce et épurée pour accompagner cette série photographique
En tant que graphiste, j’ai porté une attention particulière à ce que la mise en page mette en valeur les texte ainsi que les photographies.
J’ai ainsi choisi une typographie aux courbes sensuelles, afin d’accompagner au mieux celles des modèles.
La Petite Mort étant un livre photographique, les images sont mises à l’honneur tout au long de l’ouvrage. De cette manière, la mise en page alterne entre des pages à la fois textuelles et visuelles, et des doubles purement graphiques.
Les photographies du livre ont été réalisées par le studio WAAP.